Que dire de ce semestre inattendu. J’ai choisi
de prendre digital lab comme atelier car j’étais à la recherche de quelque
chose de différent que de la pratique pure de l’architecture.
J’ai très vite été séduit par le caractère
expérimental et conceptuel de l’atelier. D’ailleurs le premier cours dans les
laboratoires de physique fut une très bonne première impression.
Il est vrai que l’énergie digital lab a eu du
mal à se développer lors des premières semaines. Difficile de savoir si c’est
dû à un manque de volonté de notre par ou à une initiation a la physique peut
être trop évasive (je n’imagine pas la difficulté pour des physiciens
d’expliquer la physique de base à un architecte).
Quoi qu’il en soit une semaine marque le point
de départ de l’ouragan créatif de l’atelier. Je parle évidemment de cette
semaine à Anderlecht qui ne fut pas la plus tentante mais la plus efficace pour
chacun de nous.
C’est précisément a partir de cette semaine
que l’atelier a prit toute son importance. Chaque groupe a su trouver une
identité à partir de phénomènes complètement différents.
A partir de là les conversations furent riches
car les recherches de chaque groupe ont permis à d’autres groupes d’évoluer.
Les conseils de nos précieux physiciens ont permit de débloquer nos esprits.
Bref, à partir de là, l’ensemble de l’atelier à commencé a fonctionner en
harmonie.
Pour ce qui est de notre projet personnel, cette
manière unique de travailler dans l’atelier nous à amené a dépasser la
problématique de l’architecture pour adapter notre phénomène à la mobilité
cycliste ce qui n’aurait certainement pas été accepté dans tout autre atelier.
Ce qui fait la force du digital lab c’est son
alliance avec un autre domaine d'étude qui a poussé les architectes à quitter leur champ
d’action et d’inversement poussé les physiciens a imaginer une utilisation
concrète de leurs idées farfelues.
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