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Thursday, December 22, 2016

A new way of thinking when architecture meets physics

En ce qui concerne le cours de DFS on peut bien parler d'une expérience, il s'agit d'un cours surprenant. La structure, les échanges ou encore les objectifs sont propres au cours. 

D'une certaine manière même si le cours est très encadré nous avons eu tout au long de ce quadrimestre une certaine liberté d'expression, sans vraiment savoir vers quoi nous irons. 
Personnellement j'ai appris beaucoup sur le plan personnel, le stress du bon résultat ne m'a jamais vraiment quitté durant mes études. Dans ce cours j'ai eu l'occasion avec plus ou moins de succès de relâcher un peu et de penser à ce que je suis en train de faire et non à ma note. 

J'ai eu du mal à comprendre que ce qui compte c'est d'essayer encore et encore afin d'arriver à un résultat, qu'il soit concluant ou moins. Face à deux enseignants qui ont eu beaucoup de patience et qui recherchent avant tout une réfection et non un résultat, mon insertion au cours fût difficile. Ce n'est que vers la fin du cours que je commence à comprendre le véritable enjeu de DFS. En ce qui concerne l'expérience interfacultaire, il fût pour moi une réussite, malgré des opinions et une manière de raisonner différentes, les deux facultés sont plus que complémentaires. J'ai appris à aborder la question sous un autre angle, à me poser et réfléchir autrement au problème, à quantifier ce que je vois et à l'analyser. 

D'une façon ou d'une autre ce cours m'a permis de me rendre compte que le résultat n'est pas la seule chose qui compte, que je devais m'ouvrir un peu plus et chercher des réponses plus loin, de ne pas rester sur mes acquis mais de chercher encore et encore ...

Tuesday, November 22, 2016

Une semaine "coupé" du monde pour enclencher un processus réflexif et créatif, voila une belle idée qui, pour des architecte, aurait pu paraitre évidente mais qui pour un physicien comme moi aurait paru impensable. Notre cursus hautement théorique ne nous aurais jamais poussé vers de tels expériences aussi constructives soient-elles.

Sur papier l'idée était parfaite, réunir 25 personnes (physiciens et architectes) se connaissant peu pendant une semaine avec une idée en tête, la création d'un modèle à l'échelle 1:1 d'une partie d'un pavillon architectural faisant fit d'un phénomène physique. Nous dormirions en tente, mangerions, cuisinerions ensemble et nous défoulerions ensemble. Un cadre idéal pour débloquer les esprit et les relations.

Dans les faits ce n'était pas aussi rose. Nous avons du faire face à une grosse contrainte : le Froid, avec un grand F. Lundi en arrivant, deux choses retinrent mon attention : l'immensité du dédale dans lequel nous allions passer la semaine et le froid omniprésent qui découlait des volumes incommensurablement vides des pièces qui composaient le bâtiment.

Mais cela ne nous arrêta pas. Le chauffage à gaz tournait à bloque et les chauffages à tosaïne également. Il fallu très vite s'habituer à travailler avec écharpe, bonnet, veste et l'attirails qui s'en suit. J'ai trouvé cela extrêmement difficile, mais tolérable dans le sens ou il était encore possible de travailler. La première journée fut pour moi très vague et également marquée par l'absence de mon binôme.

Je me suis donc lancé dans des dessins divers et variés de pavillons, de pièces et d'expériences en rapport avec la thématique du son. Mon idée de base était de faire un pavillon en forme d'onde dans lequel on trouverait différentes pièces de différentes tailles, géométries et recouvrement. Chacune de ces pièces permettraient de vivre le son par sa résonance ou non résonance.

Première nuit: rude. J'ai dormi mais pas suffisamment bien que pour récupérer mes forces et me lancer pleinement dans ma seconde journée. Celle-ci fut plus compliquée à aborder moralement. Toujours seul, j'ai continué mon cheminement de réflexion sur le pavillon du son. En fin d'après midi, une discussion avec les professeurs mis en exergue l'un des défaut criant de mon idée de projet : le manque de rapport au monde extérieur.

Le débriefing du mardi soir fut, à mon étonnement, fort constructif et me permit de me joindre à un groupe déjà existant pour continuer mes travaux.

Le reste des aventures en terme de projet est raconté dans un autre poste plus détaillé sur le travail avec mon groupe.


Si je devais résumé en quelques points l'expérience : 
  • Travailler en groupe est plus motivant
  • C'est fou ce qu'il est possible de faire quand on élimine les appréhensions.
  • J'ai appris à prendre du recul par rapport à un projet. J'ai appris à accepter de remettre en questions des pans complets du projet.
  • J'ai appris à utiliser les machines de construction 
  • Dans un groupe chacun apporte ses compétences. De manière explicite, j'étais moins doué en construction de parabole qu'en équation mathématique mais le travail de groupe permet de créer une symbiose parfaite de ces éléments.

Comme il s'agit d'un premier jet de rapport, je me laisse encore un peu de temps pour l'étayer et le retravailler.


Expérience ... hors du commun!

Cafet' Flagey 9h: Sac de camping sur le dos, tente pop-up accrochée devant moi, ordinateur en main, me voilà prête! 
Ce n'était sans compter sur le garde de la faculté qui vient nous interpeller " Bonjour! Est ce que je peux savoir ce que vous faites là?"  "Et bien nous sommes étudiantes, et nous allons en workshop" ... "Ha oui?" (regard insistant sur la tente).
Voilà qu'on nous prenait pour des vagabondes!!! Comment lui expliquer que oui, on part en camping dans un bâtiment désaffecté à Bruxelles pour le cours de projet... Voilà qui annonçait la couleur de la semaine, la déconfiture devait sans doute se lire sur mon visage.

Se sont ensuite enchaînées toutes sortes de péripéties qui n'ont fait que retarder notre arrivée sur le lieu, à Alexia et à moi. Tant bien que mal, nous arrivons enfin sur le lieu du workshop... On nous emmène dans les méandres du bâtiment pour arriver dans la pièce de travail, sans chauffage... Aglagla!!!
Chauffage au pétrole, on me parle de canon à chaleur, de réchauds... et là je ne pense qu'à une chose: "Impossible de passer une semaine ici!"

Tout le monde commence à s'installer dans les pièces de travail à l'étage, chacun s'active à améliorer le confort du lieu: coup de balais, cuisine, remplissage des réservoirs à pétrole... ça prend forme et ça donne déjà plus envie! Le lendemain, c'est là que les choses ont vraiment commencé, ou auraient dû commencer... Nous ne savions pas trop quoi faire. Fallait-il laisser un peu de côté les expérimentations pour se lancer dans le projet en lui-même, ou confectionner un prototype, ou creuser les expérimentations, ou ... ? Nous tournions un peu en rond, encore à se demander si la piste du son était vraiment la bonne. Le lendemain, on se rend compte qu'il faut vraiment qu'on se décide sur un sujet, il faut qu'on se mette à l'eau!

Le fait de voir tout le monde se lancer dans des projets, des prototypes, des nouvelles expérimentations , et de nous voir encore presque au point de départ me faisait angoisser. Il fallait qu'on s'y mette une bonne fois pour toutes! Même si nous ne faisions pas exactement ce qui était demandé, nous avons commencé à faire aux environs de la fin du deuxième jour.
Et je pense que c'est à ce moment là que je n'ai plus vraiment subi cette semaine. Au final, le froid, le cuisine un peu caduque, en tant que bonne scoute ça ne me dérangeait pas trop, il fallait juste un peu s'habituer à la vie en communauté avec des personnes avec qui j'avais l'habitude de travailler. Ça, ça allait, mais une fois qu'on s'est vraiment mise au travail, ça allait encore mieux!

On commençait à préciser nos intentions, à faire évoluer nos expériences, passer du high tech au low tech, à comprendre de mieux en mieux la finalité du workshop, et à faire des aller-retour entre expériences et pavillon.
Ensuite nous sommes passé aux mesures à la quantification de nos expériences, ça prenait forme et c'était agréable à voir!

Petit à petit une réelle cohésion de groupe se mettait en place, j'apprenais à mieux connaitre les autres, sous un autre angle, on fait des jeux le soir, on boit un verre, et ça fait plaisir. On se remonte mutuellement le moral, on s'entraide on discute projet ou de n'importe quoi, et on en oublie presque notre situation un peu "précaire".
Au fil de la semaine je m'approprie un peu plus chaque jour le bâtiment, je m'aventure un peu plus loin, je mesure alors les capacités et la force du bâtiment, je me projette!

Je me surprends à m'émerveiller de l'écho de l'énorme salle du rez de chaussée, qui plongée dans le noir la rend encore plus impressionnante, qu'à un endroit bien précis dans la cours il y a un petit tourbillon qui se crée et tant d'autres choses, que c'est rigolo de démonter le bâtiment pour faire des expériences (et oui il y a une gouttière en moins...). Finalement on se sent un petit peu dans un petit cocon dans cette énorme bâtiment, j'aimais me dire que les gens à l'extérieur ne soupçonnaient ni l'activité qui s'y passait, ni les qualités spatiales de ce lieu.


Nous avons débloqué des problèmes dans notre projet, nous avons vraiment bien avancé grâce aux échanges, nous sommes bel et bien à l'eau, le cap est défini, mais le chemin n'est pas encore tout à fait au point! Je retiendrai finalement les bons moments qui ont rapidement effacé les difficultés rencontrées tout au long de la semaine. J'ai beaucoup appris, des autres, de Denis, de Victor, des "physiciens" de Michele. J'ai appris des nouvelles recettes, je suis remontée sur une trottinette, j'ai entendu mon professeur ronfler, j'ai discuté avion, j'ai fait des rencontres... et voilà ce que je retiens de cette semaine! J'espère aussi avoir pu apporter ma petite touche à cette expérience!

Merci à tous pour tout ça!


Monday, November 21, 2016

Un moral aussi sinusoïdal qu'un son pur !

En toute honnêteté, je dois bien avouer que l'idée de faire une semaine de workshop dans un bâtiment désaffecté non chauffé à gare du midi ne m'enchantait guère. Ce n'est pas que je suis dénuée d'un certain "esprit scout", mais Lorette et moi-même sortions justement d'une semaine de montage de décor, semaine durant laquelle nous avons scié, vissé, peint, cloué, le jour comme la nuit, et de laquelle nous sortions un peu sur les genoux. C'était reparti pour un tour !

Et pourtant, dès que j'ai découvert le lieu, bien que je n'avais pas spécialement envie d'y dormir pour la raison évoquée plus haut, j'ai tout de suite été séduite par son potentiel. La première chose qui m'est venue à l'esprit est qu'il ferait un lieu de bal d'architecture exceptionnel.
(NB : Le concept du bal archi est de reprendre un bâtiment désaffecté et de le remettre à neuf le temps d'une soirée, et pas seulement si l'on pense à l'ancien GB Carrefour il y a deux ans que les soirées CatClub ont récupéré depuis lors.)
====> Piste à creuser ?

Après la découverte des lieux, il a fallu s'activer. J'avoue avoir été un peu désorientée au début. Par où commencer ? Trouver la thématique. Certes mais dans cette thématique, que chercher ? Expérimenter, avec quel matériel ? Autant de questions qui me turlupinaient initialement.
Dépasser ce cap a été de comprendre qu'il n'y avait pas de questions à se poser mais qu'il fallait se lancer.
Nous nous sommes d'abord intéressé au son théoriquement, ses concepts, son vocabulaire propre, etc, afin de savoir de quoi on allait parler pendant une semaine.

Ensuite, place à l'expérimentation. Les premières expériences étaient encore "timides" mais tout aussi fondamentales selon moi. Nous voulions rendre le son visible différemment des méthodes déjà utilisées. Même si nous utilisions des moyens plus rudimentaires pour rendre le son visible, il s'agissait de moyens high tech (enceintes, générateur de fréquence online, etc).
J'avoue avoir beaucoup apprécié cette étape de notre parcours expérimental, bien qu'a posteriori nous avons selon moi bien fait de passer à des expériences basées sur des moyens low .
Petit à petit, les expériences se déroulaient et notre objectif se précisait.

Parallèlement, les locaux se réchauffaient, les membres de l'équipe apprenaient à se connaître et l'organisation se mettait en place. J'ai énormément apprécié les échanges entre les élèves et avec les professeurs. Les moments que je préférais est quand on se retrouvait pour faire des projections, par exemple parce que Victor voulait nous redonner le moral en nous montrant les moyens de chauffage rudimentaires au Japon ou parce que Denis avait eu une révélation en mesurant la température à la surface d'une chaise pour bébé ! :)

En conclusion, ce fut une bonne expérience malgré selon moi le manque d'organisation qui a posé le plus problème. Comme dit à un des debriefs, j'aurais bien imaginé le même concept mais dans le cadre d'un voyage organisé bien à l'avance, en dehors du Bruxelles, voire de Belgique. En effet, j'aurais bien vu ce "dépaysement mental" s'accompagner d'un dépaysement "local".

Je tiens à remercier Michele, Denis et Victor sans qui cette semaine n'aurait pas été possible,
Merci à Matthieu et Anthony pour nous avoir prêté leur gsm !
Merci à Lorette pour sa bonne humeur à toute épreuve !
Merci à tout le monde pour l'ambiance générale !


Expérience personnelle

Pour commencer j’étais très impatient de découvrir les lieux, alors dès que je suis arrivé sur place je me suis empressé de visiter cet immense bâtiment, j’ai pris le premier escalier qui se présentait à moi puis j’ai continué dans le couloir qui suivait et ainsi de suite je me suis perdu dans ces immenses espaces remplis de vide ! c’était assez bizarre au début, j’avais l’impression de ne rien à faire ici, j’étais assez étonné ! je ne m‘attendais pas à ça…

Après plusieurs tours je commençais à me familiariser avec les lieux et j’allais maintenant découvrir l'installation des espaces de travail que nous avons réalisé avec les différents groupes et c’est à ce moment là que j’ai pris conscience des conditions dans lesquels nous allions vivre pendant une semaine, le FROID…







Même si je ne dormais pas sur place, chaque jour je m’arrangeais pour arriver en milieu de matinée. Alors que certains dormaient encore j’étais enfin prêt pour travailler.
Malgré le froid, tout cet espace nous permet assez facilement de travailler et le caractère brut et vide des lieux nous offre une certaine pureté dans la réflexion ainsi les idées deviennent peut-être plus claires qu’à Flagey. Aussi j’ai ressenti une certaine facilité à produire, contrairement à d’habitude, il n’y a pas d’intermédiaire, on se débrouille, on cherche et si on trouve pas, on s’adapte. Au bout de deux jours on adopte facilement cette méthode. Les outils sont partout et nul part a la fois, c’est le désordre qui règne, on croit en avoir vu ici mais en fait quelqu’un est déjà passé, alors on cherche encore puis on fini par demander aux autres et ils nous proposent autre chose. On trouve Michaele qu’on a déjà croisé trois fois et qui est toujours en mission, on lui demande un service en échange d’un petit coup de main pour l’aider à déplacer un truc puis soudain il a une idée aussi, on en discute, je suis tourmenté mais je fonce vers ça et on verra. Parfois on à l’impression de perdre beaucoup de temps, ça peut être un peu énervant mais c’est pas grave, on fait une pause en chassant les pigeons avec l’arc de Michaele par exemple.  En fait on arrive jamais à réaliser l’idée claire et nette que l’on s’était tracé comme ce que l’on ferait si on était à l’école. Mais c’est chaque fois un parcours du combattant et on arrive à ses fins. Parfois ça marche et on est content d’avoir avancé, parfois c’est un échec et on se dit alors: «Tout ça pour ça !!!» et lorsqu’on retrouve son partenaire, on revient tout le temps avec quelque chose d’inattendu.

Pour se détendre un peu, le skate park, inattendu, était parfait pour moi. Cela nous permettait aussi de discuter et voir le projet sous un autre angle plus décontracté et avec plus de recul.

Denis et Victor toute en adéquation au lieu: on les croise dans la salle de travail ou dans la cuisine toujours prêts à nous écouter. Toujours un bon filon à nous donner, ils connaissent bien chaque projet et créent rapidement des rapprochements. Ils ne sont pas là pour corriger mais pour avancer avec nous, ils travaillent dans tous les groupes à la fois. Ce ne sont plus des profs à proprement dit, qui connaissent tout sur tout, les projets sont tellement partis dans des domaines précis et compliqués que plus personne n’est dans sa zone de confort, on a donc un échange d’idées, de pistes et de références. On peut aussi les surprendre et c’est sympa.

L’ambiance générale était bonne, on apprend a se découvrir chaque jour un peu plus et dans des conditions différentes. On brise les barrières de l’école et on partage une expérience collective.
Un bon souvenir qui restera.


Merci a tous ! :)


Expérience personnelle


La découverte des locaux m’a beaucoup surprise ! Je ne savais pas à quoi m’attendre en pénétrant dans cette immense bâtisse désaffectée.

J’ai éprouvé un double sentiment de curiosité et de dégout à la vue de nos espaces de vie. J’ai du réellement prendre sur moi afin d’imaginer le potentiel de ces futurs espaces.

Étant responsable de l’organisation des repas j’ai privilégié la mise en place de la cuisine. Je me suis imposée pour que celle ci se trouve en présence de fenêtre et non pas dans l’anti chambre glauque. La transformation de la cuisine a été rapide et efficace. Grâce à la contribution de chacun notre cuisine était très équipée !



Étonnamment personne n’a cédé à la panique ou au découragement, tout s’est déroulé dans la bonne humeur et chacun a su trouver de l’optimisme pour combattre le froid.

 



On avait tendance cependant à être perplexe quand à la mission de cette semaine. Quel était vraiment le but ?

Marta et moi avons tout au long de la semaine avancé à l’aveuglette, c’est-à-dire qu’on ne savait pas du tout ce qui allait aboutir à la fin de la semaine. Chaque jour était un nouveau tournant.



Le bâtiment facilitait notre création. Cet espace présentait peu de confort et nous nous sentions libres d’avancer comme nous le voulions. Notre évolution était conditionnée par les outils et les matériaux présents sur place. De plus il n’y avait aucune pression de la part des professeurs quand à finalité de notre travail.

Ce fût très agréable de travailler dans cette ambiance.

 



J’ai beaucoup aimé, au cour de cette semaine, les liens et les rapprochements entre les gens. En arrivant dans ce studio je ne connaissais personne. Cette semaine nous a obligé à communiquer et à former une équipe. Les conditions précaires étaient propices à l’entraide. Nous formions une réel équipe et chacun nécessitaient des compétences des autres (physiques, intellectuelles…).



Le froid nous obligeait à bouger et j’ai réalisé de nombreux travaux manuels, je crois qu’avant cette semaine les rares fois où j’avais mis la main à la pate étaient pour monter des meubles Ikéa ! Là j’ai découvert le fonctionnement de la scie, du ponçage, du vissage et même de la soudure ! Un grand merci à Michaele pour sa patience et sa bonne humeur!



J’ai beaucoup appris pendant cette semaine, quand à l’avancée du projet je l’ai trouvé fluide et encourageante !



Un grand merci à tout le monde.

Saturday, November 19, 2016

SuperLab - Retour sur expérience

La première heure était pour moi la plus marquante… je n’avais qu’une seule envie, c’est découvrir cet immense bâtiment désaffecté… enfin presque!  Une fois la porte ouverte, je me suis laissé perdre dans celui-ci… très vite j’ai laissé ‘tombé’ le groupe pour ne plus que l’entendre chuchoter au loin,… jusqu’à me retrouver sur la toiture et admirer la ville.   













Ah… ce lapin… quelle belle mascotte… Maintenant je regrette quelque peu qu’il n’aie pas l’apparence de Zebulon!
Quel bâtiment, quelle histoire je me suis imaginé qu’il se cachait derrière! …j’essayais de la reconstituer en devinant à quoi pouvait bien servir les restes (citerne d’eau distillée, etc…)

Une vie improbable et pourtant…








ça caillait sec! …mais très vite une vie s’y est installée, si bien que sceptique au début de l’expérience (Je me suis même dit : « il n’y a que Victor qui y croit…» ;-) … et puis je me pris au jeu notamment en transformant cette cuisine…  Je restais émerveillé devant l’enthousiasme de Victor, au début je croyais qu’il ‘jouait un jeu’ pour nous motiver et puis je du me rendre à l’évidence que c’était aussi sa nature… et c’était communicatif… 
Si je ne pouvais pas être ‘full time’ sur place, cela ne m’empêcha pas d’être ‘pris’ par le jeu et la vie sur place.

Je suis d’accord avec Victor, l’espace, l’expérience y est pour beaucoup et crée des conditions de création nettement différentes qu’à la faculté…; aussi le côté brut, non fini du bâtiment, le bordel dans les outils me mettait bizarrement à l’aise… il n’attendait rien de nous, il nous offrait seulement les outils du possible…
Plus que les connaissances concrètes apprises, c’est donc mon état d’esprit qui m’a marqué.  L’expérience, le lieu, l’état d’esprit des intervenants me mettaient dans un état propice à la création… je redevenais quelque part un enfant qui expérimente et n’a d’autre but que le plaisir qu’il en retire, je me redécouvrait expérimentateur, créateur,… dans ce cadre, tout était possible.  Victor, Denis et Zebulon étaient de grands enfants, leur jeu semblait être leur nature et collaient parfaitement à l’expérience, leur connaissances étaient des outils sans attente et finalité prédéterminée… L’expérience était intelligente!

Le contexte facilita aussi les relations entre intervenants… il fessait tomber les barrière entre profs/étudiants, tous semblaient se respecter pour eux-même, ce qu’ils sont et ce qu’ils peuvent apporter au groupe… c’était très chouette!

Au jour le jour… ouf, j’ai la mémoire courte! 

Je me souvient avoir passé énormément de temps à chercher mes outils… et à en trouver d’autres inattendus, improbables… on a besoin de quelque chose et on est contraint de le faire avec un autre outil… Même ce bordel dans les outils était salutaire… il nous forçait à trouver un autre chemin que celui tout tracé/préconçu d’emblée…

J’aurai envie d’ajouter que même si je ne dormais pas sur place, j’appréciais/j’aurais apprécié qu’il y ait Toujours quelqu’un sur place pour nous accueillir le matin, une sorte de concierge… sans trouver le volet fermé, comme un feu qui couve sur lequel il n’y a qu’à rajouter du bois pour qu’il reprenne… Zebulon, tu veux pas emménager là? ... ta copine pourrait se faire un dressing royal... ;-)


Merci à vous tous.

Thierry

Friday, November 18, 2016

Résidence à Cureghem




Le bilan de cette semaine d’expériences est plutôt mitigé pour moi, mais a quand même de nombreux points positif, bâtiment et matériel à disposition, l’aide précieuse de Mikele et enfin l’ambiance collective en général. Cette semaine nous a donc appris a nous connaître, autant étudiants que professeurs.

Concernant le travail lui même je ne suis pas convaincu de cette semaine, qui m’a plutôt beaucoup frustré dans l’avancement du projet, et plutôt perdu. 

Le bâtiment se prête particulièrement à la réalisation d’idées, par l’expérimentation ou la maquette mais quand à la réflexion la résidence n’est personnellement pas mon meilleur moyen de travail. Je n’arrive pas à prendre le recul nécessaire en étant continuellement focalisé sur le processus de recherche. Le froid et l’agitation m’empêchent de me concentrer et de trouver des idées constructives et j’ai l’impression de me laisser porter vers un chemin qui ne m’attire pas plus que ca.

Le point positif en revanche, est le fait d’avoir pu faire un pas en avant dans la recherche sur ce pavillon, pas en avant nécessaire à ce stade d’avancement du projet.

L’échange entre étudiant est aussi un gros atout de la résidence, ou chaque projet, experiance permet d’initier des pistes de réflexions annexes.

Je suis aussi un peu déçu que l’expérience se conclue sur le simple pecha kucha et par une exhibitions des expériences elles même.

Je suis donc beaucoup plus séduit par l’experiance sociale de la résidence, que par l’expérience de travail.

Expérience SuperLab

Quelle idée... Avant le début de cette semaine "mouvementé", pleins de questions ont chambardées mes pensées à propos de ce lieu et qu'est ce qu'on allait y faire à part travailler. je préfère être honnête et dire que c'est surtout des pensées négatives qui venaient effacées mes pensées positives sur ce projet. Certes, j'étais persuadé que de bons moments allait s'y installer mais je savais pas comment. Le budget, le froid, l’hébergement sont alors devenus des questions sans réponse et un poids énorme.

A l'arrivée sur le lieu du crime, en quête de réponse à mes incertitudes, la première chose qui m'a paru évidente de faire fut de visiter notre future demeure. Alors j'ai erré dans ce grand bâtiment désaffecté qui renfermé de merveilleux espaces. Alors j'ai continué, me retrouvant dans des couloirs sombre et obscures qui m'a conduit à des surfaces immensément vide et surprenant, pour débouchés sur le toit de et ainsi admirés la vue sur Bruxelles.


Cependant, après mes explorations , l'installation des lieux de travail dû être réalisé par tous le groupe et petit à petit on pouvait réaliser dans quelles circonstances nous allons vivre durant une semaine . Le froid était pesant dès que nous nous arrêtions de bouger  pour nous mettre à réfléchir à notre travail que nous devions fournir a la fin de ce Workshop, but principal de notre présence. La première nuit a été rude car autant pousser l'expérience jusqu'au bout et dormir sur les toits surplombant bruxelles! Pas que nous qui ont eu froid. Nombreux des points négatifs étaient encore présents...

Puis petit à petit, malgré les tourments que nos professeurs nous faisaient faire à propos de os expériences que nous voulions réalisé, une ambiance solidaire entre les différents groupes s'installa.

Beaucoup des points négatifs sont alors devenus positifs. Les moments d’égarement dû a l'organisation de la vie collective  permettait alors de renforcer les échanges entre les professeurs et les étudiants. Un rythme de travail fut "routiniser" et puis une bonne atmosphère se créa. Un énorme point positif qui était imprévu, était la présence du cher Michaele qui porta une influence majeur sur l'était d'esprit du groupe et sur l'apprentissage manuel de chacun.


La fatigue présente mais surtout une gaieté,abondante en cette fin de semaine de Workshop. Alors à ce moment donné, toutes mes questions et mes appréhensions de la semaine ont disparus.

Séjour au SuperLab

Jour 2
Après une nuit très très courte dans la tente au SuperLab, je me suis levée un peu fatiguée. En attendant que les autres se réveillent, je me chauffais avec une bonne tasse de café. Plus tard, lorsqu'on a repris le travail en haut dans la conciergerie, ensemble avec Anthony j'ai réfléchi à une structure du pavillon qui porterai les lamelles hygroscopiques. Avant de partir chercher du matériel, une courte discussion avec les 2 professeurs nous a mis sur la piste de ne pas encore réfléchir à la structure, mais de laisser d'abord mûrir une idée de phénomène physique. L'après-midi, on a donc fait une série d'expériences. On a commencé par un essai très simple mettant en oeuvre la capillarité: on a déposé des feuilles de différents matériaux pliées sur de l'eau et on a observé en combien de temps elles s'ouvrent. On a aussi tenté de mieux comprendre comment fonctionne le Hygroscope de Achim Mendes. Ceci nous a poussé à faire une petite maquette avec une éponge et un contrepoids. (plus de détails dans la description de groupe) Le soir, après le skatepark (où cette fois-ci je me suis contentée de jouer au badminton, j'avais encore assez de bleus de hier) et le dîner, on a présenté notre avancement au groupe.

Jour 3
On a profité de cette journée à mi-temps de notre séjour pour faire des recherches théoriques. Je me suis renseigné sur les pavillons, la biénnale (eh oui, jusque là je ne savais pas trop de quoi il s'agit...), la paramétrisation dans l'architecture,...J'ai appris que les architectes font beaucoup plus que juste des maquettes et des dessins tout au long de la journée (il me semble que j'ai brusqué pas mal d'architectes en leur disant ça). De façon générale, la complexité du métier d'architecte s'est révélé à moi durant toute la semaine. Avant, je ne savais pas trop ce qu'ils faisaient, mais ça a bien changé! J'espère que réciproquement les architectes comprennent également un peu mieux ce qu'on fait en physique ;)
On a cherché de l'inspiration dans la nature: les fougères qui s'ouvrent, ou encore des pétales de fleurs, des fractales chez le chou de Romanov et le flocon de neige. Ces différents exemples nous ont poussés à réfléchir sur d'autres manières plus élégantes d'ouvrir nos lamelles. Un système qui se déroule nous a semblé particulièrement simple et élégant. On a terminé le travail sur un petit prototype d'une "pétale" qui s'ouvre quand elle est sèche et qui se referme lorsqu'il pleut sur elle. (de nouveau, plus de détails dans la description de groupe).

Jour 4
J'ai commencé cette journée de travail avec une petite discussion avec Michele sur le choix des matériaux. Si on veut une lamelle qui se courbe, il faut avoir une augmentation du volume au sein du matériau, et pas seulement une augmentation de masse. On peut ainsi exclure le feutre. Le cuir en revanche marcherait bien, ainsi que le bois plaqué, et des cheveux (oui, je sais, un pavillon construit avec des cheveux c'est assez...inhabituel). J'ai donc commencé à réaliser des lamelles de bois plaqué d'environ 40cm x 10cm. Sur ces lamelles on colle des bandes d'aluminium transversalement aux fibres du bois. J'ai d'abord utilisé des bandes d'alu adhésives, mais pendant le test sous la pluie, ces bandes se sont vite détachées. J'ai donc refait l'expérience avec de l'alu normal collé sur le bois avec de la colle extra forte. Elle colle extra fort aussi sur les doigts...
Au contact avec l'eau, la lamelle commence en effet à se courber et à s'enrouler. Petite victoire! Le mécanisme fonctionne donc. Il faut juste inverser le processus: on voudrait que la lamelle soit enroulée quand elle est sèche (pour laisser passer les rayons de soleil) et qu'elle se déplie lorsqu'il pleut. Je discute donc avec Michele pour savoir comment faire. Il faut d'abord humidifier le bois puis le rouler à la main. Puis, une fois qu'il est sec, on doit coller les bandes d'aluminium. Ces bandes appliquent dès lors une contrainte sur la lamelle une fois que celle-ci se déroule, et la rammènent à son état initial (enroulé) quand elle sèche.

Jour 5
J'arrive tôt sur le site aujourd'hui pour bien avancer dans les expériences et les essais. Je fabrique la lamelle qui serait enroulée à l'état sec et étendue à l'état humide. Je fais un essai et ça marche super bien. J'étais contente de cette constatation, d'autant de plus que je n'y croyais pas vraiment. En effet, théorie et pratique sont deux choses très différentes, et avoir un succès au premier essai est assez rare. Une discussion avec monsieur Terwagne me met sur la piste d'utiliser un système qui ne va pas s'ouvrir et se fermer au contact avec la pluie, mais d'utiliser quelque chose qui va tout simplement absorber l'eau de pluie et gonfler. Les petites billes d'hydrogel contenues dans les pampers en sont un bon exemple. Après le repas de midi je pars donc à la recherche de pampers dans le quartier (c'est plus difficile à trouver que j'imaginais!). De retour à l'usine je passe à la dissection du pampers. Et là, miracle!, des petites billes commencent à tomber sur la table dès que je découpe le tissu. Ces graines ont la taille et l'allure des grains de sel, et sont enrobés d'une espèce de fibre blanche, très friable. Je prends une petite poignée de billes et je les mets dans un bac d'eau. Et hop, elles commencent à gonfler directement! Après quelques minutes, elles ont absorbé toute l'eau et forment une sorte de gel qui est marrant au toucher. Je rajoute de l'eau pour voir jusqu'où je peux aller avec ces billes. Je constate que le point de saturation est assez élevé. Je décide donc de quantifier ceci un peu, en pesant l'échantillon de billes sèches, et puis en pesant les billes gonflées: un échantillon de billes qui ne pèsent même pas 1gr pèse 80gr lorsque les billes se gorgent d'eau! C'est assez impressionnant. Bref, avec ça on ne fait pas grand chose si ce n'est pas réversible. Je teste donc si les billes réduisent leur volume quand l'eau s'évapore. Pour ne pas devoir attendre 3h, je les mets dans une casserole que je pose sur la taque de gaz. Après quelques minutes on remarque en effet une diminution du volume, même si elle n'est pas aussi dramatique que le changement de volume lorsque le billes se gorgent d'eau.

Jour 6
Dernier jour au SuperLab! Je suis debout tôt pour avancer encore un peu dans nos essais sur les billes avant de préparer la présentation. Les petites billes de pampers sont bien mignonnes mais pour en faire quelque chose de raisonnable avec le pavillon c'est un peu chaud. C'est peut-être mieux d'utiliser des billes d'hydrogel plus grandes, comme on en trouve souvent chez les fleuristes. On peut aussi faire ces billes nous-même, c'est un processus qui est connu sous le nom de sphérification. Comme on n'avait pas les ingrédients pour faire les billes nous-mêmes, on est passé chez Casa pour acheter des billes toute faites. Elles étaient déjà dans l'état gonflé, donc une fois de retour à l'usine, on a essayé de les sécher pour voir si elles réduisent leur volume. Ceci était une opération assez lente et pénible, car souvent les billes s'envolaient avec l'air du sèche-cheveux, et elles devenaient tout à fait friables et se cassaient...En parallèle, j'ai essayé différentes structures pour enfiler les perles. Après tout, il faut que ça tienne quelque part sur le pavillon. J'ai constaté que nos billes Casa étaient trop fragiles pour tenir sur une corde. Elles s'enfilaient facilement, mais en soulevant la corde, les billes se déchiraient sous leur propre poids. Je n'avais plus le temps de résoudre ce problème, vu qu'il était bientôt l'heure de présenter. J'ai donc commencé à préparer les 20 images pour le pecha kucha. J'étais assez nerveuse, même si on devait juste présenter notre état d'avancement entre nous, rien de bien grave. La présentation finalement c'est bien passée, et c'était vraiment intéressant de voir les présentations des autres, et de voir leur maquettes dans la grande salle. Même si on s'est beaucoup parlé en semaine, et que je savais en gros sur quoi tout le monde travaillait, c'était quand même chouette de voir plus en détail ce qu'ils ont fait, et de constater que eux aussi ont parfois du faire de nombreuses expériences et changer de chemin mille fois avant d'arriver à quelque chose de bien.

Thursday, November 17, 2016

Expérience Superlab

Le premier jour fut sans doute le jour le plus "physique" avec l'aménagement complet de ce qui au départ n'était pas vraiment habitable mais au fil des jours, nous avons tous réussi à se trouver un endroit où travailler, où manger, où se détendre. Le bâtiment est tellement grand et il y aurait tellement d'espace à exploiter que ce ne serait bête de ne pas étendre notre base et voir ce qu'on peut faire dans les autres salles. Avec le montage de toutes les tables, le montage des chaises, des machines laser à se casser le dos, on y oublie assez vite le froid. On le ressent surtout quand on ne bouge pas, assis sur une chaise, en travaillant sur une table.

Au soir, l'idée du skate reste une très bonne idée et finalement devrait idéalement être ponctuel. Dès qu'il y a un besoin de se détendre, allons faire du sport. Très vite, j'ai ressenti que le travail devenait une prison, quand on ne sait pas quoi faire, vers où aller. Surtout qu'on restait la plupart du temps cloitrer dans notre chateau. Je pense que s'est être déplacé pas seulement au skatepark mais se balader dans les alentours ou avoir des conférences ou invités ponctuels seraient intéressant.

L'ambiance et la dynamique est très différente de notre environnement à flagey mais des autres ateliers en général : on s’intéresse réellement à ce que font les autres et on en rit, on se demande mais comment vous en êtes arrivés là. Puis on discute, on s'entraide. Le froid nous a quand même réuni, tous autour du chauffage. Et le fait de pouvoir aménager notre propre espace aussi, se sentir chacun à l'aise dans l'espace de travail est important.

Dans le superlab, tout était présent. On voulait couper, il y avait les machines, la scies, le marteau, rien ne manquait. J'aurais bien aimé nous voir tous travailler au superlab ensemble, voir les projets se construire. Des petits exercices/atelier ponctuels de 30min de soudage ou autre afin d'avoir la satisfaction d'avoir appris quelque chose à la place de planifier une formation aurait pu être intéressant.

La routine s'installait assez rapidement. Le matin on arrive, on travaille sur les idées de la veille. Midi on mange. Digestion, perte d'envie de travailler. Attendre jusque 17h, Skatepark. Rentrer et préparer le repas. Manger. Rapidement finaliser pour une présentation.

Cependant l'endroit aide beaucoup à décomplexer sur les idées. S'aventurer dans les pièces noirs et dans le bâtiment, prendre un bout de bois, des tuyaux, des barres métalliques, les tordre, les brûler, ... Toucher à tout est une bonne expérience.
Il suffisait d'un rien pour trouver l'insipration. On bloquait beaucoup sur la tenségrité et une structure bistable, qu'on a finalement mis de côté rapidement pour tester cette idée surprenante de décrocher au plafond tous les tubes électriques que l'on croisait sur notre chemin pour les amener sur le toit et les placer dans des briques pesant chacune 25kg. On n'aurait probablement jamais fait ça à Flagey, déjà rien que de trouver du carton n'appartenant à personne est compliqué.
Le timing était parfait : avoir trouvé plus d'une vingtaine de tuyau, monter sur le toit, voir le coucher du soleil. Nous savions où nous voulions poser notre projet.

Wednesday, November 16, 2016

Instructions : Partagez votre expérience au Superlab !

La semaine passée au Superlab a été intense en émotions, en création, en rebondissements et en apprentissages.

Pourriez-vous développer au jour le jour votre expérience personnel de votre résidence au Superlab ? Détailler votre chemin parcouru: ce que vous avez fait, les rebondissements et surtout ce que vous avez appris.